Nous revoilà donc pour ce premier article à coloration thaï avec, encore et toujours, quelques jours de décalage sur la vie réelle. Si ce n’est pas le cas faudra vous y faire : notre régularité sur le blog, c’est comme les promesses de campagne électorale, ça n’engage que ceux qui y croient.
Depuis notre arrivée en Thaïlande, la vie est à l’image de la cuisine locale : pimentée. Nos quelques jours de calme sur l’ile de Koh Chang nous avaient déjà tout juste (à peine serait plus juste) permis de mettre le blog à peu près à jour pour le Cambodge, mais depuis le rythme s’est encore accéléré (on pourrait dire même qu’il est assez effréné) entre une visite éclair de Bangkok et un rapide détour par Kanchanaburi, étapes où nous aurions finalement aimé passer plus de temps.
Comme on l’a déjà dit (ou peut-être pas mais au cas où si on radote n’hésitez pas), plus on avance et plus on se rend compte que finalement le temps est une (la) denrée rare qui va (le plus) souvent nous manquer.Nous voilà donc à présent sur l’île de Koh Samui (après maintes péripéties sur lesquelles nous reviendrons plus tard) où nous espérons retrouver un timing un peu plus zen, du repos et profiter de tout cela pour nous mettre à jour et (essayer de) combler notre retard.
Tout d’abord, un petit retour arrière sur Koh Chang.
En fait Koh en thaï veut dire île (mais ceux – nombreux on n’en doute pas - qui se passionnent pour Koh Lanta le savent déjà) donc pour toutes nos prochaines destinations qui commenceront par Koh, on n’aura pas besoin de vous le repréciser. Parce qu’autant vous le dire des Koh, on espère bien en voir un paquet d’autres (entre Samui, Phi-Phi, Cotier, Cu, Bra et on en passe) !
Un peu d’aventure (vraiment un peu, mais on part de loin donc on y va pas à pas) d’abord pour rejoindre Koh Chang puisque nous avions uniquement pris un taxi pour nous amener de Battambang à la frontière thaïlandaise sans trop savoir comment nous allions poursuivre notre route. Finalement, on s’en fait tout un monde (comme quoi…), mais ça n’est pas bien compliqué. Un service de taxi attend côté thaïlandais et il n’y a plus qu’à négocier au mieux le tarif (on demande la destination la plus proche de la frontière et une fois partis on est rapidement amené à négocier pour aller plus loin et rallonger la course).
Parenthèse d’ailleurs : ces premières semaines asiatiques auront permis de révéler les talents (et l’âpreté autant le dire) de Juliette dans le monde tordu de la négo et du marchandage avec taxis, bus et autres chauffeurs de Tuk-Tuk (parfois même hôtels !). Attention au retour, ça va discuter dru !
Mais revenons-en à nos moutons (nos éléphants plutôt puisque c’est le sens de Chang en thaï), Koh Chang, en plus d’un peu de repos, nous aura permis de découvrir les fonds marins du Golfe de Thaïlande avec de magnifiques coraux et des poissons multicolores, et même quelques bénitiers flashy lors d’une petite excursion en bateau.
Nous sommes ensuite à nouveau repartis (en grands aventuriers que nous sommes) avec nos deux petits éclaireurs pour découvrir une belle cascade, occasion idéale pour se baigner et profiter de la faune locale pour se faire un fish-spa comme à Kuala mais gratos ! Pas folle la guêpe !
Et enfin, à tout bien tout honneur, farniente sur les plages de sable blanc et dîner sous les cocotiers pour parfaire le tout et finir de planter le décor de notre première expérience balnéaire depuis le départ. Y a pire non… ?
Ce qui est drôle, mais finalement pas si surprenant, c’est que c’est peut-être aussi l’endroit le moins dépaysant qu’on a traversé jusque-là, sans que ça nous gêne le moins du monde : on a parfois pu retrouver le charme et la tranquillité, l’indolence même des îles tropicales que nous connaissons déjà (ça nous va bien à nous l’indolence) et en particulier un petit parfum de Sainte Lucie (notamment les routes à 10 ou 12% - on ne se refait pas, même loin de tout les habitudes sont tenaces - et la conduite à gauche…).
Depuis notre arrivée en Thaïlande, la vie est à l’image de la cuisine locale : pimentée. Nos quelques jours de calme sur l’ile de Koh Chang nous avaient déjà tout juste (à peine serait plus juste) permis de mettre le blog à peu près à jour pour le Cambodge, mais depuis le rythme s’est encore accéléré (on pourrait dire même qu’il est assez effréné) entre une visite éclair de Bangkok et un rapide détour par Kanchanaburi, étapes où nous aurions finalement aimé passer plus de temps.
Comme on l’a déjà dit (ou peut-être pas mais au cas où si on radote n’hésitez pas), plus on avance et plus on se rend compte que finalement le temps est une (la) denrée rare qui va (le plus) souvent nous manquer.Nous voilà donc à présent sur l’île de Koh Samui (après maintes péripéties sur lesquelles nous reviendrons plus tard) où nous espérons retrouver un timing un peu plus zen, du repos et profiter de tout cela pour nous mettre à jour et (essayer de) combler notre retard.
Tout d’abord, un petit retour arrière sur Koh Chang.
En fait Koh en thaï veut dire île (mais ceux – nombreux on n’en doute pas - qui se passionnent pour Koh Lanta le savent déjà) donc pour toutes nos prochaines destinations qui commenceront par Koh, on n’aura pas besoin de vous le repréciser. Parce qu’autant vous le dire des Koh, on espère bien en voir un paquet d’autres (entre Samui, Phi-Phi, Cotier, Cu, Bra et on en passe) !
Un peu d’aventure (vraiment un peu, mais on part de loin donc on y va pas à pas) d’abord pour rejoindre Koh Chang puisque nous avions uniquement pris un taxi pour nous amener de Battambang à la frontière thaïlandaise sans trop savoir comment nous allions poursuivre notre route. Finalement, on s’en fait tout un monde (comme quoi…), mais ça n’est pas bien compliqué. Un service de taxi attend côté thaïlandais et il n’y a plus qu’à négocier au mieux le tarif (on demande la destination la plus proche de la frontière et une fois partis on est rapidement amené à négocier pour aller plus loin et rallonger la course).Parenthèse d’ailleurs : ces premières semaines asiatiques auront permis de révéler les talents (et l’âpreté autant le dire) de Juliette dans le monde tordu de la négo et du marchandage avec taxis, bus et autres chauffeurs de Tuk-Tuk (parfois même hôtels !). Attention au retour, ça va discuter dru !
Mais revenons-en à nos moutons (nos éléphants plutôt puisque c’est le sens de Chang en thaï), Koh Chang, en plus d’un peu de repos, nous aura permis de découvrir les fonds marins du Golfe de Thaïlande avec de magnifiques coraux et des poissons multicolores, et même quelques bénitiers flashy lors d’une petite excursion en bateau.
Nous sommes ensuite à nouveau repartis (en grands aventuriers que nous sommes) avec nos deux petits éclaireurs pour découvrir une belle cascade, occasion idéale pour se baigner et profiter de la faune locale pour se faire un fish-spa comme à Kuala mais gratos ! Pas folle la guêpe !
Et enfin, à tout bien tout honneur, farniente sur les plages de sable blanc et dîner sous les cocotiers pour parfaire le tout et finir de planter le décor de notre première expérience balnéaire depuis le départ. Y a pire non… ?
Soyons clair, 4 jours c’était trop court (notamment on a complètement zappé le côté le plus sauvage de l’île) mais faudra s’y faire… on ne pourra pas tout faire. On attend donc avec impatience les prochaines « Koh » pour approfondir un peu tout ça…
To be continued avec en exclu quelques teasers bien sentis : dans les prochains épisodes vous découvrirez comment faire pousser des cheveux blancs à Juliette (indice : Chang) et comment traverser la moitié de la Thaïlande en (seulement...!) 28h.
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